NOUVELLE-CALÉDONIE

LE JOUR D’APRÈS

01 janvier 2019

Le scrutin en Nouvelle-Calédonie, le 4 novembre dernier, s’est prononcé, dans un climat serein, pour le maintien au sein de la France. Mais les défis demeurent et les Églises doivent se mobiliser pour construire le destin commun du territoire.

© rfi.fr Indépendantistes kanak le jour du scrutin du 4 novembre Lors du dernier referendum, 56,7 % des Calédoniens ont voté pour le maintien du territoire au sein de la République française. La forte participation (80 %) et le calme dans lequel il a eu lieu méritent d’être salués. Ce vote intervenait au terme d’un processus de rééquilibrage de trente ans, censé donner aux Kanak de meilleures conditions d’accès à la formation et l’emploi. Des inégalités criantes Néanmo...
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Gilles Vidal professeur d’histoire du christianisme à l’IPT-Montpellier

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